A353.
Né de nouveau !Témoignage de Paul Blomme.
Reproduction autorisée, pourvu quelle soit intégrale, et que les sources soient indiquées.
Paul Blomme est un ancien Jésuite converti à Jésus-Christ. Il a vécu de 1919 à 2001. Nous avons déjà publié l'ouvrage qu'il a écrit sur la croix (L037). Nous publions à présent le témoignage qu'il a écrit sur sa vie et sa conversion.
Qui arrivera à comprendre cela ? Aucun cerveau humain, aucune machine électronique, aussi sophistiquée soit-elle, ne pourra jamais en donner lexplication.
L'apôtre Paul, dans son épître aux Corinthiens 2 : 29, dit : "Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que lil na point vues, que loreille na point entendues, et qui ne sont point montées au cur de lhomme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui laiment."
Lapôtre Jean, dans son 3e chapitre, nous rapporte un entretien de Jésus avec un chef déglise du nom de Nicodème. Jésus lui dit : "En vérité, en vérité je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu."
Nicodème, membre du sanhédrin, donc prêtre savant et haut placé dans le gouvernement religieux, malgré son haut niveau intellectuel, nen comprenait absolument rien, à en juger par la réponse quil donna au Seigneur. Mais, de ce fait, Jésus aurait-il inventé et ordonné aussi solennellement quelque chose dirréalisable ? Inexplicable, oui, mais non irréalisable. Incompréhensible pour toute chair humaine, mais accessible à tout homme acceptant la sagesse de Dieu.
Comment le cerveau de lhomme, enfermé dans sa boîte crânienne, et pesant quelques centaines de grammes, peut-il pénétrer dans lEsprit de Dieu qui créa tout lunivers ? Toutes les intelligences du monde réunies ne pourront jamais théoriser la nouvelle naissance.
Selon le chapitre 11 de lEvangile de Mathieu, au verset 25, "ces choses sont cachées aux sages et aux intelligents, mais révélées aux enfants", et lapôtre Jean nous dit dans son premier chapitre que "tous ceux qui ont accepté la lumière sont devenus enfants de Dieu."
Quelquun demanda au grand prédicateur du siècle dernier, Wesley, pourquoi il prêchait toujours sur la nouvelle naissance. Le saint homme répondit : "Parce qu'il vous faut naître de nouveau."
Dieu a dressé un obstacle infranchissable et hermétiquement clos à tout raisonneur scientifique, fût-il le plus grand savant, fût-il mathématicien, académicien ou religieux.
La nouvelle naissance est une expérience et non une science. Cest voulant "scientifier" la Parole de Dieu au jardin dEden, que toute lhumanité a été perdue.
Si le mur de la nouvelle naissance, limitant implacablement le pouvoir de lhomme, en interdit laccès aux grands de ce monde, il nen est pas de même pour les humbles, à lintention desquels Dieu a prévu une porte étroite. Mais le seuil de cette porte est seulement franchissable lorsquune autre porte, celle du monde, a été solidement verrouillée derrière soi.
Une foule très nombreuse se trouve comme enracinée sur le seuil de la nouvelle naissance, sagrippant désespérément à cette porte qui ne veut pas souvrir. Ils ne peuvent franchir le seuil, étant trop chargés du fardeau de leur religion héréditaire, de la crainte de perdre leur renommée, de la crainte de leur avenir terrestre, de la crainte de décevoir leur monde ou leur église, de la crainte dun échec quant à leurs ambitions. En un mot, ils ne veulent pas fermer la porte du monde derrière eux.
Si, dans un grand immeuble tour, quelquun a laissé la porte de l'ascenseur ouverte, les autres usagers resteront sur le palier. Tel le jeune homme riche de lévangile de Mathieu, au chapitre 19, retournant tristement vers ses biens, ainsi ces âmes restent dans une profonde tristesse mêlée denvie, bloquées entre deux portes, regardant dautres âmes qui, joyeusement avec des chants dallégresse, entrent triomphalement par la porte étroite du Seigneur Jésus, le Christ, dans la vie éternelle, cessant dêtre une promesse, étant devenu un glorieux accomplissement, car tout est accompli.
Par une grâce spéciale de la part du Seigneur, et malgré mes multiples révoltes et rejets de Son amour, par Sa sainte patience incommensurable, le Seigneur a malgré tout voulu que je sois né de nouveau. Oui, je suis
NE DE NOUVEAU.
De très longues années de discipline sévère dans la religion firent de moi un athée du dernier ressort. Les règles strictes de lordre des Jésuites me furent imposées à très forte dose du matin au soir et même pendant la nuit, et ceci dès mon enfance. Il est vrai que je vivais intensément les rites, les processions et les cérémonies, et je récitais de longues prières des heures durant.
Ce furent alors ma seule consolation et ma seule espérance dans ce monde.
Cette vie eut été humainement acceptable sil ny eut dautres pratiques allant à lencontre et, finalement, dans le sens opposé de mes espérances. Acceptable également, si lattitude générale eut été compatible avec lenseignement. Hélas, celui-ci laissait beaucoup à désirer !
Dans lordre des choses de cette étrange vie entraient paradoxalement les pratiques normales, des coups, des flagellations, des humiliations et l'homosexualité. Si ces abominations sautent aux yeux de quiconque et heurtent, il nen va pas de même lorsquelles sont greffées dès la prime jeunesse. Là, elles ne se révèlent que très vaguement et par petit peu à la fois. Voilà en quoi, dans cette éducation, se révéla en fin de compte, dans mon esprit, le Nom de Dieu qui se réduisait à cette expression : "Le Bon Dieu" ! Jésus-Christ, un Nom usé représenté par un crucifix pendant au bout du chapelet, et tous les saints, qui selon cet enseignement, étaient tous passés par les mêmes tribulations et qui, en couronnement, furent canonisés et glorifiés par le chef suprême terrestre de la chrétienté, Sa Sainteté le Pape.
Avec le recul, je me rends compte que jétais dans un curieux état car, en regard, je nignorais pas lEvangile, bien loin de là. Plusieurs fois par jour, jen récitais de longs passages ainsi que des psaumes en latin.
Le jour où le Seigneur me libéra de tout cela, je ne Lui en manifestai aucune gratitude. Cétait paradoxal ! Parce quau fond de moi-même, jen avais une indubitable connaissance ; mais jen étais saturé au point de ne plus en vouloir. Je me sentais très fort, métant affranchi de tous les liens de cet esclavage. Je navais dégard pour rien ni personne, à lexception de ce qui était "MOI." Il nétait plus du tout question quon me parle de religion ni du "Bon Dieu." Pour moi, tout cela était bien fini, raturé. Jétais convaincu den savoir plus que quiconque.
Un jour, un ami ouvrier, qui depuis est devenu pasteur, et pour moi un ami fidèle, voulut moffrir un Nouveau Testament. Je lui refusai dédaigneusement. Ce nétait pas à moi quil fallait faire une telle offre. Jen étais excédé. En avais-je récité des chapitres entiers en latin et par cur ! Mais ce gentil camarade, persévérant, insista, me démontrant tout lintérêt des annotations complémentaires dans cette édition, et je finis par consentir à accepter.
Il sétait rendu compte de ce quen fait, jignorais la profondeur de ce que, à légal dun perroquet docile, javais récité, parce que cétait la règle imposée. Grâce à sa sollicitude, la lecture de cet ouvrage me fit bien découvrir ce qui était faux dans la religion, ses multiples erreurs, sans cependant pouvoir déceler le vrai. Dès lors, il ny avait rien à changer dans ma conduite, et mon dédain pour la religion sen trouva dautant plus affermi.
Je ne puis dire que le Nouveau Testament traduit par Louis Segond, avec annotations de F. Faivre, que moffrit louvrier Marcel Robin, actuellement pasteur, mapporta beaucoup de clarté. Je me limitai à en étudier les notations concernant les erreurs démagogiques religieuses, mais rien de plus. Il me sembla inutile détudier ou de lire les Evangiles que déjà je connaissais et qui, à lexception des remarques aux bas des pages, me semblèrent êtres identiquement les mêmes. Dieu, Jésus-Christ, christianisme, politique, religion, le monde, les gens, les erreurs, tout cela se rencontrait dans le même kaléidoscope.
Ce nest que lévènement du 1er juillet 1959 qui en fit crever le cylindre. Cétait tellement dépourvu de tout sens pour moi, et cest pourquoi je fuyais le monde et menfermais dans ma tour divoire, solidement entouré de la muraille imprenable de mon incrédulité, bannissant toutes les lois.
Bien des années plus tard, jarrivai à comprendre les erreurs de la religion et à les comparer avec les erreurs humaines dont je faisais les frais. Libéré en 1945, ceci contre toute espérance, du bagne nazi de Butzbach par la 9e armée américaine, malade de dénutrition, je fus brutalement jeté en prison en rentrant au pays, étant soupçonné dincivisme. Selon le registre de la population, mon cadavre fut, paraît-il, trouvé criblé de balles à larsenal de Toulon en août 1942, lors de loccupation de la France pétainiste.
Dès lors, tout me sembla être désespérément vain et poursuite du vent, dont faisaient parties les impérieuses TRADITIONS. Oh non, je nen veux pas du tout à mes maîtres éducateurs et professeurs, qui ont fait de leur mieux pour menseigner leur ignorance.
Puis, peu à peu, vint le moment où jeus le sentiment quil devait bien exister un autre Dieu que Celui de la religion, quil devait y avoir une autre vérité ; un curieux dualisme sinstallait en moi, au fur et à mesure de mes méditations. Progressivement, jeus le pressentiment croissant de lopportunité de létude de ce Nouveau Testament, particulièrement dans les instants où la vie glisse vers une impasse. Effectivement, jour après jour, je me rendais compte que ma manière de vivre mentraînait dans des situations de plus en plus graves.
Cette lutte fut très âpre, très longue. Elle sétendit sur de très longues années. A chaque palier dangereux, jignorais Dieu dans mes actes, mais je Limplorais simultanément dans ce pathétique dualisme. A chaque fois le Seigneur avait quand même pitié de moi et me sauvait par des moyens qui Lui sont propres ; mais, une fois lorage passé, joubliais mes engagements et retournais aux mêmes égarements.
Arriva ce 1er juillet 1959. Un malheur, beaucoup plus angoissant encore que les précédents, maccabla. Cette fois, il sagissait dun drame tel quil ne permettait ni lueur daucune issue, ni aucun espoir. Des jours et des nuits, je pleurais et hurlais ma détresse. Nul nétait à même de me secourir. Ma situation devenait implacablement tragique. Toute tentative de réconfort était irrévocablement inutile. Il était humainement impossible dentrevoir une évolution. Le suicide même nétait pas possible.
Jendurai ce calvaire tout un mois. Finalement épuisé, vidé, en un total désarroi, convulsivement je me jetai à genoux et criai à Dieu : "Si vraiment Tu existes, révèle-Toi à moi ! Cette fois, définitivement, je me conformerai à TA VOLONTE."
Et, instantanément, le miracle se produisit. Il ny eut pas une seconde dintervalle. Mais ce ne fut pas ainsi que je lavais souhaité.
Mentalement surgit devant moi le miroir de SA LOI. A mon effroi, jy lus toute la liste longue, longue, de mes multiples transgressions, révoltes et constants refus. Une insoutenable vision hideuse fut celle de réaliser brutalement la nudité de mon âme et soudain, mon affliction prit une tout autre forme, celle, non plus du désespoir sans issue face aux événements, mais bien celle de ce que jen étais, réellement et par suite de mon infidélité envers le Seigneur, lunique artisan, et ceci sans complaisance. Jétais faux, hypocrite, menteur et idolâtre, pécheur contre tous les commandements.
A ce moment, javais cru avoir atteint lextrémité de mes revers ; mais cette nette implacabilité du miroir de ma vie me démontra quil y avait encore un sous-sol que mon orgueil ne mavait pas permis de soupçonner.
Jusqualors javais accusé plusieurs personnes dêtre la cause de mes tribulations, mais le divin miroir me démontrait que jétais, sans aucune excuse, moi seul et rien que "moi seul," le véritable artisan de ce qui marrivait. Et ce fut bien plus terrifiant encore lorsque, fulgurante, en esprit, mapparut la CROIX et le visage tuméfié, presque inhumain de Jésus, tout maculé de sang coagulé et de poussière. Je crus défaillir lorsque retentit dans mon âme ce cri : "Tout est accompli Je me tiens à la porte et je frappe. Nendurcis plus ton cur comme lors de tes révoltes."
Sur le champ, mon optique des faits se transforma radicalement. Pratiquement ils étaient toujours là, au même point, mais ils avaient changé de plan. Tout à coup, cétait comme sils se dissolvaient telle la neige au soleil, ou la neige qui disparaît dans la mer. Cette transformation-là demeurera toujours incompréhensible pour moi. Cest le secret du Seigneur. Oh alors, avec quel empressement ai-je reçu Jésus comme mon Sauveur. Pour la première fois, jai compris que cétait aussi pour moi que Jésus, le Christ, avait été sacrifié. Enfin, je comprenais que la FOI dans le CHRIST nétait pas une religion ni une politique, mais bien une vie. Il la dit LUI-MEME : "Je suis le chemin, la vérité et la vie" (Jean 14 : 26).
Chaque mot résonna dans mon cur comme autant de salves de triomphe sur la mort.
Je passai de la mort à la vie. Je ne sais combien de temps je suis resté dans ladoration, dans la joie, à genoux. Enfin, pour la toute première fois, je saisissais ce que Jésus avait enduré sur la CROIX, pour moi, pour mon péché. Tous les versets y ayant trait dans le Nouveau Testament se précipitaient dans ma mémoire en une avalanche de lumière. Là, il ny avait plus de cérémonial.
Chers lecteurs, autant j'étais auparavant dans un profond désarroi, dans un insondable abîme, autant, brusquement, je me sentais irrésistiblement propulsé vers une indescriptible joie. Oui, de labîme, je menvolais, enfin, jétais NE DE NOUVEAU !
Un autre changement se produisit également. Je ne pouvais plus me taire. Il y a à présent 25 ans depuis cette mémorable minute, qui fut tellement et radicalement décisive dans ma vie.
Le tournant était bien franchi et, depuis lors, je suis entièrement au service du Seigneur, mon Maître Divin. Je ne puis plus mempêcher de Lannoncer, de faire connaître Sa Parole en toute occasion, favorable ou non. Jai une telle conviction que toujours il en restera une trace opportune dans la vie de ceux qui lauront ouïe, en prêchant lEvangile de lEXPERIENCE en langue vivante, celle de la Pentecôte, qui nest plus la langue morte quest devenu le latin. C'est le langage de Dieu, doux comme un murmure, qui sadresse au cur et à lesprit de chacune de ses créatures, de celles quIl a façonnées à Son image.
A maintes reprises, peut-être, avez-vous distraitement entendu la voix du Seigneur au cours de votre terrestre route, qui peut être longue ou peut être abrégée. Oh ! chers lecteurs, ne suivez jamais lexemple de la description pathétique de cette page de ma vie. Nattendez pas que le sol se dérobe sous vos pas.
Plusieurs fois sans doute, lappel du Seigneur vous à été adressé. Vous avez répondu : "Oui daccord, mais pas maintenant, je nai pas le temps," ou encore : "Jai ma religion, cela me suffit." Chers amis, la FOI est un DON de Dieu et elle nest nullement biologique ! La FOI ne peut être héritée. Il se peut que vous vous soyez dit : "Je ne fais de mal à personne." Cest bien ce que, moi aussi, je métais dit. Mais le Décalogue, un implacable miroir, me montra bien le contraire. Peut-être vous êtes-vous dit également : "Que diront ma famille, mes amis, mes voisins ?" La Bible nous démontre quils sont tous dans la même situation que vous-même, et que tous, tout comme vous, ont besoin dêtre sauvés, car "tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu."
Chers amis, maintes fois Dieu sest manifesté dans votre vie, souvent vous avez reçu Son message. Soyez conscients que chaque parole que vous avez entendue est un dépôt sacré que le Seigneur vous a confié, et dont vous demeurez responsable. Par la plume du prophète Esaïe, au chapitre 55 : 11, Dieu dit : "Ainsi en est-il de Ma Parole qui sort de Ma bouche ; elle ne retourne point à moi sans avoir Son effet, sans avoir exécuté Ma volonté et accompli Mes desseins."
Lappel de Jésus sadresse à chacun de nous personnellement. Il devient de plus en plus pressant si nous comprenons bien lévolution des évènements et, parfois, de ceux de notre vie. Chers lecteurs, demandez au Seigneur cette grâce de vous accorder le don de repentance, de cet examen sans complaisance de votre réalité, et Il vous éclairera. Vous ressentirez alors, lheureuse transformation, la libération des chaînes rejetées, qui vous conduira dans la NOUVELLE NAISSANCE, lavé de toute iniquité.
Aujourdhui encore cet appel sadresse à tous, nul nen est exclu, ni même les membres dune église, car il faut que vous naissiez de nouveau. Le fait daller régulièrement au temple ne vous transforme pas en chrétien, comme entrer dans un garage ne fait pas de vous une voiture. Vous qui restez désespérément sur le seuil de la porte, priez ardemment le Seigneur quIl vous éclaire sur la raison de ce blocage ; il se peut quun péché reste solidement accroché à votre cur et que vous pensez ne pas pouvoir labandonner. "Venez à Moi vous tous", dit le Seigneur, "qui êtes chargés et fatigués". Peut-être y a-t-il quelquun dans votre assemblée que vous ne pouvez supporter, ne laimant pas, cela arrive. Il se peut que cette personne soit née de nouveau, et dans laquelle vous cherchez des faiblesses, sans vouloir lui en parler. Avant de déposer votre offrande allez dabord vous réconcilier avec votre frère ou votre sur ; faites-lui remarquer la paille que vous voyez dans son il, peut-être que vous découvrirez une poutre dans votre il, vous barrant tout lhorizon de la vie nouvelle.
Jai moi-même participé à une réunion de prière où japerçus clairement une émanation de haine se dégageant dun membre de cette petite assemblée, bien que cette personne fût de vielle souche chrétienne et un pilier dans son église. Prions pour ces personnes, quelles puissent confier leur joug au Seigneur, joug qui appesantit si lourdement leurs pas, afin quils puissent prendre leur envol, aussi légers que laigle, vers la vie nouvelle.
Qui que vous soyez, quel que soit le poids de votre fardeau, venez, dit Jésus, venez à Moi. Gens honnêtes ou brigands, le Seigneur vous appelle ; pasteur ou fidèle, criminel derrière les barreaux ou assassin aux mains libres, venez, venez, car Jésus a dit : "Je ne rejetterai pas celui qui vient à Moi."
Maintenant, en ce moment, le Seigneur vous adresse une fois de plus Son appel. Maintenant, à nouveau, Il frappe à la porte de votre cur, et vous demande de pouvoir entrer. Dans cette demande, ce nest plus lhomme qui prie Dieu, mais, oh ! mystère insondable, cest Dieu qui prie lhomme ! Mais Peut-être aussi est-ce la dernière fois ?
Amen.