A208. Survivants des Illuminati (7).

Article de Wayne Morris.

L’original de cet article peut être consulté en anglais sur le site Internet :

http://www.mindcontrolforums.com/radio/ckln22.htm

Reproduction de la traduction française autorisée, pourvu qu’elle soit intégrale, et que les sources soient indiquées.

Avertissement : Nous prévenons les lecteurs trop jeunes ou trop sensibles que cet article contient des informations susceptibles de le choquer. Nous l'invitons donc à la prudence, et même à ne pas lire cet article s'il estime qu'il pourrait avoir du mal à en supporter le contenu.

Nous publions à présent la transcription de l'interview de Brice Taylor, survivante des Illuminati. Elle a été employée comme esclave sexuelle de plusieurs Présidents des Etats-Unis et autres personnalités importantes, et a subi les pires tortures au cours de sa programmation mentale. Elle aide aujourd'hui des centaines de survivants, dans tous les Etats-Unis, à se sortir de l'emprise des Illuminati.

Wayne Morris : Bienvenue dans notre émission, Brice. Pourriez-vous commencer par vous présenter brièvement ?

Brice Taylor : Mon nom est en réalité un pseudonyme, que j'ai choisi d'adopter pour me protéger, et protéger mes enfants, quand j'ai commencé à écrire un livre présentant mon témoignage. J'avais été programmée mentalement pour être esclave de notre gouvernement. Depuis 1985, je travaille à ma guérison, et à vérifier mes souvenirs. Car j'étais utilisée au plus niveau de la société, ainsi qu'au niveau international, par tous les dirigeants impliqués dans le Nouvel Ordre Mondial.

Wayne Morris : Qui a été le premier responsable de votre programmation et de votre conditionnement ?

Brice Taylor : Au début, c'était mon père. Il me programmait chaque jour à la maison. Mais ma mère avait aussi été programmée pour me faire subir des sévices et me programmer. En fait, c'était toute ma famille qui était impliquée dans ma programmation, mes grands-parents des deux côtés, mes tantes et oncles, et même mes frères. Quand j'ai atteint l'âge de cinq ans, on m'a conduite dans diverses bases militaires de Californie pour y être programmée. Plus tard, je suis aussi allée à l'Institut Neuropsychiatrique de l'Université UCLA, ainsi que dans des centres de la NASA.

Wayne Morris : Vous rappelez-vous quand votre conditionnement a commencé ?

Brice Taylor : J'ai des souvenirs qui remontent à une époque où j'étais très jeune. Ma programmation a commencé dès ma petite enfance.

Wayne Morris : Que faisaient les membres de votre famille, en particulier votre père et votre grand-père ?

Brice Taylor : J'appartiens à des générations de satanistes. Mon père m'amenait avec lui en avion dans l'Iowa, où vivait mon grand-père, et ils me faisaient participer à des cérémonies sataniques. C'est là que j'ai compris que mon grand-père, qui était un homme politique extrêmement riche, appartenait à une famille qui était dans le satanisme depuis des générations.

Wayne Morris : Votre famille était-elle engagée dans la programmation mentale, ou pratiquait-elle simplement des rituels sataniques ?

Brice Taylor : Je ne sais pas ce que faisaient mes parents quand ils étaient jeunes, mais je crois que mon père est devenu un "programmé multiple" à la suite des horribles rituels sataniques qu'on lui avait fait lui-même subir. Mais je ne crois pas qu'il était conscient de ce qu'il faisait quand il me programmait, parce qu'il avait des personnalités multiples… Je l'ai vu souvent changer de personnalités au cours des années.

Wayne Morris : Etait-ce dû au fait que votre père était aussi un programmé mental ?

Brice Taylor : Oui. Mon père avait été cruellement torturé toute sa vie. Il avait eu une enfance extrêmement difficile. Même au moment où j'étais en train de guérir, il est passé plusieurs fois tout près de la mort à la suite d'accidents, qui étaient sans doute causés par sa programmation, comme pour moi par la suite...

Wayne Morris : Votre famille était-elle liée aux milieux gouvernementaux ou militaires ?

Brice Taylor : Pas officiellement. Mais c'était certainement le cas, comme j'ai été mise en contact avec le gouvernement et avec des militaires.

Wayne Morris : Savez-vous comment ils vous ont mise en contact avec les militaires ?

Brice Taylor : Je crois que tout cela est venu par mon grand-père, qui faisait de la politique. Je ne l'avais jamais rencontré avant l'âge de 10 ans. Mais dès que je l'ai rencontré pour la première fois, lorsque mon père m'a conduite chez lui en avion, c'est par la suite que j'ai été mise en relations avec toute une série d'hommes politiques célèbres, de personnalités diverses, et avec beaucoup de gens de tous les milieux. Je crois donc que cela a commencé à cause des relations de mon grand-père.

Wayne Morris : Est-ce que votre grand-père était lui aussi programmé, ou connaissait-il simplement les techniques de la programmation mentale ?

Brice Taylor : Je ne le sais pas. Tout ce que je sais, c'est qu'il me torturait en présence de mon père, et aussi en présence de beaucoup d'autres hommes. Je ne peux que raconter ce que j'ai vécu, et ce que je crois être la vérité. Je sais simplement que mon père était un programmé mental, mais je ne le sais pas en ce qui concerne mon grand-père. Je ne l'ai pas assez connu.

Wayne Morris : Pouvez-vous décrire à nos auditeurs ce que l'on vous a fait souffrir quand vous étiez enfant, dans la mesure où vous vous en souvenez ?

Brice Taylor : C'est toujours assez difficile pour moi de le raconter, parce que cela me fait toujours beaucoup souffrir, même après tant d'années. On me traumatisait de toutes sortes de manières. On me piquait avec des épingles et des aiguilles. On me brûlait, on me suspendait par les pieds, parfois à des croix, on me faisait tournoyer, on me laissait tomber d'une table quand j'étais toute petite, on me violait, on m'obligeait à participer à des orgies, on me droguait, on me privait de nourriture et de sommeil. En plus de tout cela, à partir de l'âge de cinq ans, dans les bases militaires où j'étais programmée, on me torturait à l'aide de toutes sortes d'instruments sophistiqués, et l'on me donnait des électrochocs… Tout cela était fait pour fragmenter ma personnalité en une multitude de personnalités, qui étaient créées pour être programmées.

Wayne Morris : Est-ce que vous avez continué à être programmée dans des bases militaires, après l'âge de cinq ans ?

Brice Taylor : J'ai été conduite dans des bases militaires à Long Beach, en Californie, lorsque j'étais enfant, et soumise à des traitements très variés. Ils employaient des jeux de lumière, des sons, combinés avec des drogues et des électrochocs, l'hypnose et toutes sortes de tortures.

Wayne Morris : C'est donc votre famille qui a travaillé sur vous au début de votre conditionnement, avant de vous livrer aux militaires pour une programmation plus pointue et plus sophistiquée ?

Brice Taylor : Mon père a toujours continué à me programmer, même lorsque j'ai été confiée aux militaires pour une programmation plus poussée.

Wayne Morris : Quelle était la vie publique de votre père, et quelle image publique avait-il ?

Brice Taylor : Mon père était soudeur, et il se comportait en père parfait. Il pourvoyait très bien aux besoins de sa famille, et tout le monde le connaissait comme un homme charmant. Personne n'avait la moindre idée de ce qu'il faisait en secret, pas même son médecin personnel. J'ai moi-même du mal à comprendre cela, quand je vois à quelles tortures il soumettait ses propres enfants.

Wayne Morris : Votre mère savait-elle ce qui se passait, et participait-elle aux tortures de ses enfants ?

Brice Taylor : Ma mère me torturait de bien des manières. Lorsque j'ai commencé à retrouver mes souvenirs, je fus convaincue que ma mère était consciente de ce qu'elle faisait. Toutefois, lorsque j'ai été assez guérie pour aller la trouver et lui dire que je savais tout ce qu'elle m'avait fait subir, je l'ai vue se mettre à pleurer, et elle m'a dit : "Je veux bien te croire, mais je ne me rappelle pas t'avoir traitée comme cela !" J'étais certaine que ma mère, à un niveau subconscient, a sans doute su ce qu'elle faisait, mais elle ne pouvait plus s'en souvenir. Si j'en suis convaincue, c'est parce qu'elle n'a pas contesté ce que je lui ai dit, ce qui est très inhabituel pour un survivant. D'habitude, ils réagissent en disant que cela ne s'est jamais produit. Mais ma mère n'a pas réagi ainsi. En fait, elle m'a même financièrement aidée pour publier mon livre, car, à cette époque, je me cachais pour échapper à la mort, et je n'avais aucune source de revenus. Elle a continué à m'aider jusqu'à aujourd'hui. Quoiqu'elle n'ait aucun souvenir de ce qui s'est passé, elle continue quand même à pleurer quand je lui parle de mes souvenirs.

Wayne Morris : Vous rappelez-vous avoir vu votre mère participer à des cérémonies sataniques ?

Brice Taylor : Oui. Je me rappelle avoir vu ma mère torturée et traumatisée au cours de cérémonies sataniques, qui étaient organisées dans certaines églises chrétiennes, la nuit. Ma mère était une femme battue. Elle ne s'en souvient pas beaucoup, mais mon père la battait. En fait, certaines des personnalités de mon père étaient des tortionnaires, mais d'autres personnalités ne l'étaient pas. Ma mère a été terriblement torturée, et je sais qu'elle a été programmée d'une manière toute spéciale pour me conduire dans des aéroports tard le soir ou tôt le matin, quand je servais d'esclave sexuelle au niveau international, ou pour des hauts dirigeants de notre gouvernement et des personnalités du monde du spectacle. Mais elle ne se souvient de rien. Toutefois, même aujourd'hui, elle a beaucoup de mal à se rendre à l'aéroport, et elle ne comprend pas pourquoi cela l'effraye tant. Pour moi, ce sont des signes qui me montrent qu'elle se doute réellement de ce qui s'est passé, même si elle est amnésique à cause de sa programmation.

Wayne Morris : Est-ce qu'elle a cherché à se faire soigner ou à recevoir de l'aide ?

Brice Taylor : Oui, mais ma mère a près de 80 ans. Elle m'a dit : "J'ai peur d'être complètement brisée, et de ne plus être capable de fonctionner normalement". Parce qu'elle a bien vu comment cela s'était passé pour moi. A certains moments, au cours de mon processus de guérison, je ne pouvais même plus prendre soin de moi, ni de personne. Elle me dit que ce qui peut l'aider le mieux, c'est de prendre soin de moi financièrement, et de pouvoir être avec mes enfants. Car je ne peux pas avoir beaucoup de contacts avec eux pour le moment. Ma mère est une victime. A présent que je suis complètement guérie, et que j'ai compris que ma vie avec mes enfants était tout à fait semblable à la vie que j'avais eue avec ma mère, j'éprouve une grande compassion pour elle. J'aurais aimé être présente auprès d'elle quand elle avait besoin d'être guérie, mais je la comprends. Je sais ce que cela m'a coûté de passer par tout ce processus de guérison. Cela a duré des années, et m'a coûté plus de 250.000 dollars en soins divers. Je sais donc ce que cela veut dire quand on lutte pour sa guérison, et ce que cela signifierait pour elle, dans son âge avancé. Chaque jour, je devais suivre une thérapie. Même à son âge, ma mère est incroyablement forte. Elle travaille encore autant qu'elle le peut, ce qui est vraiment un miracle !

Wayne Morris : Quand vous étiez petite, aviez-vous essayé de parler à quelqu'un des sévices que vous subissiez ? Etiez-vous même consciente de ce qui se passait ?

Brice Taylor : Votre question est intéressante, Wayne. Parce que lorsque j'étais en train d'être déprogrammée et que ma personnalité se remettait en ordre, beaucoup de souvenirs me revenaient en mémoire. L'un de ces souvenirs me permet de répondre à votre question. A l'école élémentaire, l'une de mes personnalités avait été programmée pour la pornographie infantile. Voilà comment cela se passait. Pendant les cours, on nous faisait sortir de la salle de classe, pour aller "répéter à la chorale". Mon église était située tout près de la salle de classe. Alors on nous faisait sortir de la classe, et nous allions chez le directeur de la chorale pour "répéter". On nous mettait nos robes de la chorale, mais soudain nous arrêtions de chanter, et nous descendions à la cave, pour être filmés dans toutes sortes d'actes pornographiques et d'affreuses cérémonies sataniques. Mais un jour, au moment de revenir en classe, je ne sais pas pourquoi, je n'ai pas repris ma personnalité ordinaire, et je suis allée trouver la directrice de l'école dans son bureau pour lui raconter tout ce qui s'était passé, en des termes très crus. Elle a été complètement dégoûtée de m'entendre parler ainsi, et m'a ordonné d'arrêter de dire ces choses, en me disant que des enfants ne devaient pas parler de cette manière. Par la suite, chaque fois que j'essayais à nouveau de parler de cela, j'étais toujours punie. Cela finissait toujours par une punition. J'ai donc bien tenté de prévenir cette femme. Mais souvent il y avait dans l'école et dans l'église une foule de gens qui étaient eux-mêmes programmés, et qui participaient à ces sévices rituels, sans même s'en souvenir lorsqu'ils reprenaient leur personnalité "normale". C'était toute une communauté qui pouvait être traumatisée et programmée ! Il a fallu que j'attende longtemps pour que les gens commencent à croire ce que je leur disais !

Wayne Morris : Est-ce que cette directrice avait informé vos parents de ce que vous aviez dit ?

Brice Taylor : Non.

Wayne Morris : Où avez-vous grandi ?

Brice Taylor : J'ai grandi en Californie du Sud, à Woodland Hills. C'est environ à 20 minutes de Malibu.

Wayne Morris : Savez-vous si vous manifestiez à l'époque certains signes propres aux enfants qui ont subi des sévices, et qui auraient pu alerter vos enseignants ?

Brice Taylor : L'exemple que je viens de vous donner est significatif. J'étais une enfant qui semblait avoir connaissance de perversions sexuelles que normalement des enfants ne connaissent pas. On me considérait donc toujours comme une enfant à problèmes, qui dérangeait tout le temps la classe et qui n'était jamais tranquille. J'étais toujours le clown de la classe ! Je crois que je manifestais certains signes cliniques que les enseignants d'aujourd'hui auraient remarqué, en particulier mes changements fréquents de personnalité. Je changeais manifestement de personnalité. Je m'en suis aperçue par la suite quand j'ai été guérie. Je suis certaine que quand les enseignants et d'autres adultes auront plus d'informations sur ces désordres de la personnalité, ils auront des yeux pour voir !

Wayne Morris : Quand avez-vous réalisé pour la première fois que vous aviez subi une programmation mentale ?

Brice Taylor : En 1985, à la suite d'une blessure à la tête. J'ai eu un accident de la circulation, une collision frontale, et ma tête est passée au travers du pare-brise. Pour la première fois de ma vie, j'ai eu accès à ce moment-là à toutes les parties de mon cerveau, et j'ai commencé à avoir des souvenirs de mon passé. J'avais tellement de souvenirs qui me revenaient que cela m'était difficile de les appréhender. Il y en avait trop ! Mais quand ces souvenirs sont remontés, cela a déclenché un certain programme, qui m'a fait croire que je devenais folle. J'avais été programmée pour croire que j'étais folle, si jamais je devais retrouver la mémoire. En 1987, exactement à la même date que mon premier accident, j'en ai eu un autre. Je suis tombée de cheval, et je me suis sérieusement blessée à la tête et au dos contre un arbre. C'était un 12 avril à 9h15 du matin, exactement au même moment que mon premier accident. A la suite de ce nouvel accident, d'autres souvenirs sont remontés, encore plus précis, des visions par éclairs. Même mon corps revivait les traumatismes subis. Je me sentais comme droguée. J'avais mal à certaines parties précises de mon corps. Il a fallu, au cours de ma thérapie, que j'apprenne à gérer cela, et que je reconnaisse ce que cela signifiait. A cette époque, je préparais une maîtrise en psychologie clinique à l'université, quand ma mémoire a recommencé à fonctionner. Il a fallu même que j'abandonne un moment mes études avant d'obtenir mon diplôme. Mais cela m'a aussi permis de savoir beaucoup de choses sur ces processus psychologiques, et sur ce qu'il fallait que je fasse pour obtenir ma guérison.

Wayne Morris : C'est vraiment étrange que vous ayez eu ces deux accidents le même jour et la même heure, à deux ans d'intervalle ! Pensez-vous que cela soit dû au hasard, du moins en ce qui concerne le second accident ?

Brice Taylor : Je crois que ces accidents avaient été planifiés. Je le dis parce que le 10 avril 1991, deux jours avant l'anniversaire de mes accidents, quelqu'un m'a donné un billet de 1 dollar sur lequel étaient écrits des numéros de code de programmation, et aussi "12 avril". Quand j'ai montré ce billet à ma thérapeute, elle a compris que mes accidents avaient été provoqués. Chaque fois que les Illuminati m'envoient des signes comme celui-ci, cela me sert aussi à valider et à contrôler ce qui s'est réellement passé.

Wayne Morris : Vous pensez donc que vous aviez été programmée pour avoir ce second accident ?

Brice Taylor : Je crois qu'ils m'avaient programmée pour avoir un accident, au cas où je commencerais à retrouver la mémoire. Ils voulaient me tuer. Mais c'est ce que je suppose. Je sais que j'ai continué à être utilisée à l'époque. Même au moment où je croyais que je m'étais libérée de leur emprise, en 1991 ou 1992, et même en 1993, ils continuaient à m'utiliser. Je crois qu'ils voulaient au moins me blesser au point que je ne pourrais plus fonctionner. Je ne sais pas. Je n'ai pas toutes les réponses.

Wayne Morris : Vous connaissez aussi le témoignage de nombreux autres survivants. Pensez-vous que les Illuminati emploient fréquemment la technique de l'accident programmé, s'ils voient que leurs victimes commencent à retrouver la mémoire ?

Brice Taylor : Oui, je le crois. Je crois qu'à mesure que les gens améliorent leurs connaissances, ils sont de plus en plus capables de se rendre compte de tout ce qui s'est passé. J'ai reçu des lettres de survivants, d'abord de toute l'Amérique, et à présent du monde entier, qui ont subi toutes sortes d'accidents étranges, notamment à la tête. Tout cela était programmé. Mais, heureusement pour nous, et malheureusement pour nos programmeurs, beaucoup de ces accidents à la tête ont permis de briser nos barrières amnésiques. Maintenant, tous ceux qui ont eu ce genre d'accidents peuvent se rappeler de mieux en mieux ce qu'ils ont vécu !

Wayne Morris : Rappelez-vous ce qui est arrivé récemment à Michael Kennedy et à Sonny Bonno : ils ont eu des accidents de ski, et sont entrés en collision avec un arbre. Cela ressemble beaucoup à ce qui vous est arrivé. C'est ce qui me vient immédiatement à l'esprit. Comment êtes-vous parvenue à briser votre programmation mentale, et à quel moment cela s'est-il passé ?

Brice Taylor : Je suivais une thérapie quotidienne depuis 1987, quelquefois deux séances par jour. J'écrivais tous mes souvenirs chez moi. Je dessinais aussi, et je travaillais sur mon corps. Je faisais tout ce que je pouvais pour guérir. J'étais donc en train de guérir, et de "fusionner" à nouveau toutes mes personnalités fractionnées, quand j'ai reçu ce billet d'un dollar avec cette inscription, en 1991. A cette époque, j'étais soignée par le Docteur Catherine Gould, thérapeute en Californie. Elle travaillait depuis des années avec des enfants qui avaient subi des sévices rituels, et qui avaient une personnalité dissociée. Je l'avais rencontrée au cours de mes études, alors que je voulais moi-même me former comme thérapeute. Elle a commencé à répondre à mes questions au sujet de la programmation mentale. Elle a pu me donner quelques informations, mais pas grand-chose. Aucun des thérapeutes que je connaissais n'avait jamais entendu parler de sévices rituels sataniques, ni même de personnalités multiples. Personne ne pouvait m'aider à comprendre ce que je disais, ni répondre à mes questions. Mais dès que j'eus appris l'existence de la programmation mentale, mes propres programmes ont commencé à se dévoiler. J'ai commencé à remplir des pages et des pages pour mettre tous ces programmes par écrit, avec leur mode d'emploi. J'ai pu en faire des dessins, que je présente à présent dans les séminaires que j'anime. J'ai commencé à comprendre que cette programmation était bien plus complexe que je ne l'imaginais, et j'ai eu peur pour ma vie et pour la vie de mes enfants. Mais je ne savais pas où aller. Ma thérapeute m'a aidée à aller sur une île à Hawaï, juste pour y passer une semaine pour mettre de l'ordre dans mes pensées, et pour réfléchir à ce que j'allais faire.

J'ai commencé à réaliser que mon ex-mari était aussi une victime de la programmation mentale, et que j'avais encore beaucoup de choses à apprendre. Finalement, je suis restée cinq semaines sur cette île. Mais j'ai dû rentrer, pour tenter de sauver mes enfants. Pendant mon séjour sur cette île, beaucoup de souvenirs me sont revenus concernant mes contacts avec des personnalités du gouvernement et du monde du spectacle. Je n'avais pas beaucoup d'argent ni de soutien. Il y avait un couple qui m'aidait. Je me suis procurée un ordinateur. Je vivais très frugalement, et je passais beaucoup de temps à écrire mes souvenirs et à "re-fusionner" mes personnalités. Je comprenais à présent que j'avais été utilisée à un très haut niveau dans notre gouvernement. Je luttais contre la programmation qui me faisait croire que je devenais folle. J'ai commencé à être assez forte dans ma tête et dans mon corps pour être capable de reconnaître les personnes qui m'étaient envoyées pour essayer de me récupérer. Je pouvais aussi appeler certains amis au téléphone, qui m'avaient conseillé de le faire jusqu'à ce je sois complètement libre. Je les appelais, et ces personnes pouvaient vérifier et confirmer mes souvenirs. Je leur en suis toujours très reconnaissante. Je ne comprenais pas pourquoi des hommes en costume me suivaient partout en voiture.

Peu à peu, tout cela a commencé à se mettre en ordre. J'ai pu reconstituer le puzzle de ma vie. En 1991, je commençais à guérir, et j'étais tout juste au stade de réapprendre à "ramper". Mais les Illuminati avaient encore parfois la possibilité de me contrôler, et ils m'ont poussée à me prostituer, en même temps que ma fille, quand j'étais sur cette île. Cela m'a profondément choquée quand je l'ai pleinement réalisé, une fois que j'ai été guérie. Mais ma guérison avançait, et c'est pour cela que je pouvais comprendre ce qui se passait réellement.

Wayne Morris : Savez-vous jusqu'à quand vos tortionnaires ont pu continuer à vous utiliser ?

Brice Taylor : Je ne suis pas encore tout à fait sûre de la date, mais je crois que c'était jusqu'au jour de l'entrée en fonctions du Président Clinton. C'est la dernière fois qu'ils ont pu m'utiliser.

Wayne Morris : Vous avez dit que les premiers thérapeutes qui vous avaient suivie n'avaient aucune idée de la programmation mentale. Que faisiez-vous donc avec eux ? Est-ce que vous aviez commencé à travailler sur votre mémoire ?

Brice Taylor : J'ai commencé par faire simplement une psychothérapie et une analyse. C'est complètement idiot de faire une psychothérapie avec quelqu'un qui est programmé mental. Mais ils n'avaient aucun moyen de le savoir. J'avais au moins quelqu'un qui s'occupait de moi, même s'il ne comprenait rien, jusqu'à ce que mes souvenirs commencent à revenir, et que je me sente plus en sécurité. Mon thérapeute me considérait tout le temps comme si j'étais vraiment cinglée ! Ce sont d'abord les souvenirs des sévices sexuels subis dans mon enfance qui me sont revenus en mémoire, puis les sévices rituels sataniques, enfin les souvenirs concernant mon travail d'esclave pour le gouvernement.

Wayne Morris : Vous avez donc commencé à recouvrer votre mémoire pendant que vous étiez traitée par ces thérapeutes… Quand vous avez commencé à vous libérer de l'emprise des Illuminati, ou quand ils ont cessé de vous utiliser, qu'avez-vous fait exactement pour y parvenir ? Comment cela s'est-il passé ?

Brice Taylor : En fait, je travaillais avec quelqu'un des services secrets, un "renégat". J'ai vécu avec lui pendant un an et demi. C'est lui qui m'a révélé tous les programmes, les clefs, et les codes secrets qui me faisaient changer de personnalité. Il me faisait changer de personnalité en employant un code, et tous les souvenirs associés à cette personnalité me revenaient en masse. J'allais alors écrire des volumes entiers sur ce qui s'était passé, quand cette personnalité me dominait. J'avais été programmée pour avoir une mémoire photographique. La mémoire traumatique est différente de la mémoire ordinaire. Je pouvais entièrement revivre les scènes passées avec tous mes sens, ce qui me permettait ensuite de vérifier ces souvenirs. Autrement, je n'aurais eu aucun moyen de connaître normalement tous ces dossiers absolument secrets, qui concernaient la vie politique du monde entier, et les relations secrètes des dirigeants de notre monde !

Wayne Morris : Savez-vous de quelle manière ils vous avaient programmée pour avoir une telle mémoire photographique ?

Brice Taylor : C'était fait sous hypnose, et avec certaines drogues. Seules certaines de mes personnalités avaient cette mémoire photographique.

Wayne Morris : Vous avez écrit votre témoignage dans un livre : "Starshine : One woman's valiant escape from mind control" (Lueur étoilée : comment une femme s'est vaillamment libérée du contrôle mental). Vous décrivez dans ce livre certains équipements électroniques qui vous ont aidée à retrouver la mémoire et à briser votre programmation mentale. Pouvez-vous décrire en quoi consistait cette technologie ?

Brice Taylor : Il s'agissait en fait des mêmes équipements qui étaient employés pour programmer les gens, et dont le membre des services secrets dont je vous ai parlé m'avait expliqué le fonctionnement. Ces équipements pouvaient être aussi employés pour déprogrammer les gens. Jusqu'à présent, je n'ai jamais pu trouver quelqu'un, au niveau du gouvernement, qui ait accepté de reconnaître publiquement l'existence de ces équipements. Toutefois, j'ai beaucoup d'espoirs dans ce domaine pour aider des survivants à guérir. Je suis même en train de créer une entreprise spécialisée dans le biofeedback et l'analyse des ondes cérébrales. En fait, il s'agit d'un ordinateur qui enregistre et analyse vos ondes cérébrales, et qui permet donc à un survivant de se rendre compte dans quel état mental il se trouve, en reconnaissant les types d'ondes associées à divers états mentaux. Beaucoup de survivants ont subi par exemple la programmation Thêta, (très dangereuse). Cet appareil leur permet de reconnaître à quel moment ils commencent à passer en ondes Thêta, pour revenir aussitôt au niveau des ondes Bêta, qui sont les ondes correspondant à notre état conscient normal… Cet appareil aide donc les survivants à réintégrer leurs fonctions mentales normales. J'ai acheté l'un de ces appareils, et j'ai commencé à travailler avec ma fille depuis quelques mois. Et ses progrès sont pratiquement miraculeux. Bien sûr, elle avait très peur au début qu'il s'agisse encore d'une nouvelle forme de programmation mentale, mais cela lui a permis de sortir de ses états hypnotiques, et de vivre d'une manière qui lui était impossible de vivre auparavant.

Je crois que cet appareil est actuellement le meilleur pour déprogrammer des survivants du contrôle mental. C'est une technologie inoffensive et douce, qui ne provoque pas le réveil de souvenirs physiques pénibles. Tous ceux qui sont intéressés peuvent contacter l'entreprise qui a mis au point cette technologie, "EEG Spectrum". Je vous donne son numéro de téléphone aux Etats-Unis : 1-800-789-3456. Son adresse Internet est http://www.eegspectrum.com. (NDE : L'entreprise qui fabrique ce matériel s'appelle NeuroCybernetics, http://www.neurocybernetics.com. Il faut normalement être un professionnel de la santé pour obtenir le droit d'utiliser ce matériel).

Wayne Morris : Si je comprends bien, cet appareil vous permet de voir quelles sont les ondes cérébrales que vous émettez à un moment donné, et d'ajuster votre manière de penser (pour éviter les "mauvaises ondes"). Comment est-ce que cela fonctionne ?

Brice Taylor : Fondamentalement, l'ordinateur vous renseigne sur les ondes cérébrales que vous émettez, et vous "récompense" quand vous parvenez à modifier les ondes cérébrales considérées comme nuisibles… Je travaille avec des enfants qui ont des désordres de la personnalité ou qui sont dyslexiques, et il suffit souvent de deux ou trois séances pour qu'un enfant de 10 ou 11 ans qui n'était jamais parvenu à lire puisse commencer à lire, ou pour qu'un enfant traité à la Ritaline abandonne son traitement, parce qu'ils parviennent à prendre conscience de l'état cérébral dans lequel ils se trouvent. Des enfants et des adultes peuvent donc y parvenir, parce que cet appareil fonctionne au niveau du système nerveux central (conscient). Il est très efficace et me donne beaucoup d'espoirs pour l'avenir.

Wayne Morris : J'aimerais maintenant parler de certaines techniques employées pour votre programmation mentale. Vous rappelez-vous quel était le rôle de l'hypnose dans votre programmation ?

Brice Taylor : L'hypnose était constamment utilisée au début de ma programmation, par mon père ou les autres programmeurs. Ils m'ont souvent emmenée dans des Disneylands ou dans différents autres endroits où la réalité était délibérément mélangée à la fiction. L'hypnose était toujours pratiquée en association avec des drogues. Quand j'étais programmée dans des bases militaires ou à la NASA, on employait aussi toutes sortes d'instruments sophistiqués. On me donnait des électrochocs, des commandements sous hypnose, et des drogues qui permettaient à ces suggestions sous hypnose de pénétrer profondément dans mon subconscient.

Wayne Morris : A quoi servaient ces drogues ? A vous rendre plus réceptive à l'hypnose ?

Brice Taylor : Les drogues étaient utilisées de bien des manières. Je ne suis pas médecin ni chirurgien du cerveau, pour vous dire comment tout cela fonctionnait. Mais je crois que les drogues étaient utilisées pour que je ne puisse plus fonctionner au niveau de mon intelligence consciente, pour que la programmation pénètre à des niveaux très profonds.

Wayne Morris : Juste pour ouvrir le subconscient… Et à quoi servait précisément l'électricité ? Quel rôle jouait-elle dans la programmation mentale ?

Brice Taylor : Lorsque j'étais enfant, on me "choquait" chez moi avec de simples fils électriques. Quand j'ai été un peu plus grande, on a pris des électrodes utilisées pour le bétail, puis, un peu plus tard, des "pistolets électriques". Plus tard encore, dans les bases militaires, on a employé un équipement électronique plus sophistiqué. Je crois que les électrochocs étaient employés pour fragmenter la personnalité. Quand vous recevez un électrochoc, cela affecte tout votre champ énergétique, et ce traumatisme crée une dissociation de la personnalité. Cela permet de vous programmer à un niveau subconscient très profond, car vous ne fonctionnez plus au niveau conscient.

Wayne Morris : Quand vous étiez programmée avec ces appareils très sophistiqués, quel était le rôle de l'électricité ?

Brice Taylor : Je crois que son rôle était le même. Il y a actuellement d'anciens membres des services secrets ou de l'armée qui commencent à se rappeler qu'on leur administrait sous hypnose des drogues et des électrochocs, et qu'on leur donnait alors des ordres pour certaines missions à accomplir. Je crois que nous avons encore beaucoup à apprendre dans ce domaine, à mesure que de plus en plus de survivants se manifestent. Ils constituent de plus en plus des sources crédibles d'information, et ils commencent à révéler le contenu de dossiers top secrets !

Wayne Morris : Pensez-vous qu'ils employaient aussi l'électricité pour effacer des souvenirs de votre mémoire ?

Brice Taylor : En fait, le membre des services secrets qui m'avait aidée me disait que le pistolet électrique était employé pour effacer environ 20 minutes de mémoire, avant et après un certain événement. Ils étaient sûrs que cela effacerait complètement tout souvenir pendant cette période. Pourtant, j'ai pu retrouver tous mes souvenirs, malgré les électrochocs, les drogues et tout, parce que rien n'a réussi à effacer complètement ma mémoire ! Aucune des techniques employées pour effacer notre mémoire n'a fonctionné de manière satisfaisante. Je crois que c'est pour cette raison qu'il y a aujourd'hui tant de survivants qui se souviennent de ce qu'ils ont vécu !

Wayne Morris : Comment vos souvenirs sont-ils revenus exactement ? Est-ce que c'étaient des souvenirs conscients, ou des sensations dans votre corps ?

Brice Taylor : Mes souvenirs remontaient de toutes les manières possibles, à tout moment de la journée. Quand j'ai commencé à guérir, je crois que pendant dix ans environ je n'ai pas vécu normalement, parce que j'étais tout le temps en train d'écrire et de vérifier tous les souvenirs qui me revenaient. Parfois c'étaient certaines choses dans mon environnement qui faisaient remonter des souvenirs. Dès qu'ils commençaient à remonter, je suivais à la trace mes souvenirs, jusqu'à ce qu'ils deviennent clairs dans ma conscience. J'avais comme des éclairs, très précis et nets, comme si la chose venait de se passer, alors que cela remontait à 10 ou 20 ans ! Cela se passait très souvent, et je tenais tout le temps un journal. J'écrivais tout ce qui m'arrivait. Parfois, c'étaient de tout petits morceaux d'information, mais ensuite tout s'assemblait pour faire un tableau complet. Je me rappelais même l'âge que j'avais au moment où nos divers Présidents ont commencé leur mandat. Tout s'assemblait comme pour un puzzle, pour faire un tableau parfait. Je n'aurais jamais pu inventer tout cela moi-même, même si j'avais essayé de le faire !

Wayne Morris : Vous avez mentionné les équipements sophistiqués employés dans les bases militaires ou à la NASA. Pouvez-vous les décrire, et quels effets avaient-ils sur vous ?

Brice Taylor : Je devais souvent m'asseoir sur une chaise spéciale, comme celle qui est employée pour former les astronautes. Ils m'attachaient sur cette chaise. Ils utilisaient une bonne partie des équipements employés pour entraîner les astronautes : des centrifugeuses, des simulateurs d'apesanteur, des caissons dans lesquels j'étais privée de toute sensation… Certains appareils employaient des signaux lumineux et sonores, associés à des électrochocs. D'autres appareils m'envoyaient un certain son dans une oreille, et un autre son dans l'autre oreille. On me programmait à l'aide de sons : on associait un son à un commandement, souvent dans un état hypnotique. Au début de ma guérison, quand je téléphonais, j'entendais dans le combiné certains sons électroniques qui perturbaient ma pensée, et je ne pouvais plus réfléchir normalement. Il fallait que je réalise que ces sons étaient associés à certains ordres, auxquels je n'obéissais plus, mais il m'a fallu plusieurs années pour ne plus être troublée, même si cela m'arrive encore. Les appareils qui me faisaient entendre des sons différents dans chaque oreille étaient très puissants pour brouiller l'intelligence consciente, et pour injecter à ce moment-là des messages dans le subconscient ou l'inconscient. Ce sont des moyens très puissants de contrôler les gens ! (NDE : D'où le grand danger de toute forme de passivité).

Wayne Morris : Que faisaient-ils précisément pour vous empêcher de vous rappeler ce que vous faisiez ?

Brice Taylor : Ils m'injectaient des programmes mentaux qui troublaient le fonctionnement normal de mon cerveau, dès que je commençais à me rappeler quelque chose. Ou alors, je me mettais à dormir, ou je me sentais brusquement très fatiguée. J'avais des migraines, des accidents, je voulais me suicider ou me blesser… Il a fallu que je me batte pendant plusieurs années contre ces programmes, pour rester vivante. J'avais une foule de "bombes à retardement" qui avaient été placées en moi, pour me rendre folle ou me tuer. Quand vous réalisez que tout cela s'ajoutait à de multiples autres problèmes externes, au fait que mes enfants avaient aussi été programmés, et au fait qu'il était presque impossible de retrouver ses souvenirs sans que vous ayez un coup sur la tête ou quelque chose de ce genre qui vous secoue réellement… ! Je sais que tous les traumatismes que nous avons subis, mon mari, mes enfants et moi-même, étaient vraiment destinés à me garder sous le contrôle des Illuminati. Il a fallu que je lutte contre mon instinct maternel, lorsque j'ai décidé de parler, car c'est l'un des instincts les plus forts. Mais j'ai compris que mes enfants seraient plus en sécurité si je parlais, que si je gardais le silence. Même si je suis toujours tourmentée par mes persécuteurs, qui me téléphonent pour prononcer certaines phrases programmées… Cela n'arrête pas !

Wayne Morris : Est-ce que votre programmation a utilisé des éléments de la culture populaire ? Vous avez mentionné qu'on vous avait amenée à Disneyland…

Brice Taylor : Ils ont utilisé tous les éléments qui font rêver habituellement les enfants. J'ai vu tous les films de Walt Disney, et ils les ont tous employés abondamment pour me programmer, d'autant plus abondamment que je devais être utilisée dans les milieux de la haute politique. On m'a montré beaucoup de films qui servaient de support à une programmation très profonde. Ce n'étaient pas les films eux-mêmes qui contenaient les programmes, mais ils étaient utilisés pendant la programmation. Par exemple, le film "Lost Horizons" (Horizons perdus) a été utilisé pour m'enlever toute notion de l'âge que j'avais. C'est le thème du film. J'étais aussi programmée pour vieillir si je quittais les Illuminati… Ils ont employé toutes sortes de films et de livres très connus pour leur programmation.

Wayne Morris : Pensez-vous que les films qui sortent actuellement sont encore utilisés pour la programmation mentale ?

Brice Taylor : Oui, et d'une manière plus profonde qu'auparavant. Les gens ne savent pas à quel point les enfants sont influencés par les images et les messages audibles qu'ils perçoivent dès leur plus jeune âge. Ce sont ces éléments qui conditionnent leur psychisme et leur système de valeurs. Même s'ils ne sont pas mentalement programmés, nos enfants peuvent être mentalement contrôlés, et nous devons soigneusement surveiller les informations qu'ils reçoivent, car cela peut les influencer pendant toute leur vie. Je crois que les gens doivent absolument se rendre compte à quel point on est en train actuellement de détruire le psychisme des enfants. Si les parents regardaient les films de Walt Disney avec des yeux d'enfants, ils seraient horrifiés d'en constater les effets, comme pour beaucoup d'autres films et programmes de télévision !

Wayne Morris : A-t-on aussi employé la musique pour vous programmer ?

Brice Taylor : Oui. J'ai même été programmée par la musique pour tomber amoureuse de mon mari ! Les paroles de la chanson étaient liées à mes émotions pour déclencher des sentiments qui me faisaient sentir que j'étais amoureuse. J'ai pu observer par la suite qu'ils me jouaient de la musique à certains moments très importants, quand je devais être utilisée pour une mission donnée. J'ai aussi été utilisée dans l'industrie de la musique et du spectacle. J'ai pu voir comment certains musiciens très célèbres étaient des programmés mentaux. Leur musique et certaines paroles étaient codées. Souvent, j'étais chargée par l'élite de transmettre certains messages codés à ces gens du spectacle. Je leur donnais même les phrases qu'ils devaient prononcer en direct sur l'estrade quand ils étaient en concert. Je crois aussi que beaucoup de gens étaient programmés pour se rendre à leurs concerts, pour les idolâtrer, ou pour devenir hystériques. Tous ces gens éprouvaient ensuite le besoin de se rendre constamment aux concerts de leurs idoles, pour que leur programmation puisse être renforcée. C'était un moyen de veiller à ce que la programmation de tous ces fans soit conservée intacte, et soit constamment renforcée, pour pouvoir mieux les contrôler.

Wayne Morris : Parlons de votre livre. Qu'est-ce qui vous a tout d'abord motivée pour témoigner de vos expériences, et pour quelle raison avez-vous choisi d'adopter la forme d'un roman ?

Brice Taylor : C'était pour rester en vie ! A cette époque, je me déplaçais constamment, je changeais de ville et d'Etat constamment. La Docteur Catherine Gould m'avait recommandé de rester en contact avec elle, ainsi qu'avec Ted Gunderson, un agent du FBI à la retraite qui aidait des survivants. Je voulais rester en vie, tout en ayant un moyen d'expliquer aux gens ce qui se passait. Je voulais me préserver, et préserver mes enfants. Je voulais aussi aider d'autres survivants, pour qu'ils ne se sentent plus seuls, et qu'ils ne croient plus qu'ils étaient fous, comme moi-même j'avais été aidée…

Wayne Morris : Pensiez-vous que le fait d'écrire ce livre représentait comme une police d'assurance pour vous-même ?

Brice Taylor : Absolument ! J'ai même expliqué à un membre des services secrets que j'avais écrit un livre, et je lui ai confié une lettre dans laquelle je révélais absolument tout, les noms des lieux et des personnes, les dates, etc…, en lui disant que s'il m'arrivait quelque chose, à moi ou à mes enfants, il fallait publier ma lettre le plus largement possible. Finalement, cela a fini par créer autour de moi et de mes enfants un vrai mur de protection.

Wayne Morris : J'allais vous demander pourquoi vous avez choisi de ne nommer personne, mais je pense que vous venez de me répondre…

Brice Taylor : Au départ, je l'ai fait sur la recommandation de Catherine Gould, pour rester en vie. Je voulais aussi simplifier la compréhension du problème pour le grand public. A un moment donné, je révélais les noms, mais les gens avaient beaucoup de mal à accepter que leurs idoles ou les gens qu'ils considéraient comme des héros puissent être réellement ce que je leur disais, des tortionnaires qui nous avaient fait terriblement souffrir, mes enfants et moi. Je crois que la forme du roman est un moyen simple permettant d'aider les gens à comprendre la réalité.

Wayne Morris : Pourriez-vous me dire simplement, d'une manière générale, quels étaient les hommes de la politique ou du monde du spectacle qui vous utilisaient ?

Brice Taylor : Des célébrités internationales, des acteurs célèbres… Mon "propriétaire" officiel était d'ailleurs un acteur célèbre dans le monde entier… Des chefs d'Etat, des Présidents des Etats-Unis, des magistrats, des avocats, des hommes politiques de tous les niveaux, des gens du spectacle très connus, des musiciens, des pasteurs, des dentistes, des médecins… La liste est longue ! Je sais par expérience que des chefs d'Etat et des acteurs de Hollywood, comme beaucoup d'autres, sont eux-mêmes programmés. Ils ont besoin d'en sortir et d'être guéris !

Wayne Morris : Pensez-vous que ces acteurs travaillaient aussi pour les services secrets ?

Brice Taylor : Je n'en sais rien. Je dirais simplement que je le suppose. Par exemple, j'étais souvent escortée jusqu'à la maison d'un acteur célèbre par deux hommes en complet veston dans une limousine noire, quand j'allais donner un programme à cet acteur. C'est ce qui me fait penser que des services secrets devaient être dans le coup.

Wayne Morris : Comment peut-on se procurer votre livre ? Est-ce que sa distribution est satisfaisante ?

Brice Taylor : Je peux déjà vous donner une adresse où l'on peut se le procurer. Il suffit d'envoyer une lettre et un chèque au Brice Taylor Trust, PO Box 655, Landrum, S. Caroline 29356 (USA). J'ai aussi écrit un autre livre, "Revivication", qui présente une méthode "douce" pour aider les survivants à retrouver leurs souvenirs. Mes deux livres coûtent 25 dollars, port compris. On peut aussi les commander par l'intermédiaire d'une librairie.

Wayne Morris : Vous sentez-vous complètement libérée du contrôle mental ? Est-ce que vos anciens tortionnaires essayent encore de vous récupérer ?

Brice Taylor : Je me considère comme absolument libre, mais je suis toujours harcelée. Quoique cela va mieux depuis que j'ai écrit mon livre. Le harcèlement est simplement verbal à présent. Ou alors je reçois des lettres qui s'efforcent de relancer ma programmation…

Wayne Morris : Pouvez-vous nous parler avec un peu plus de détails des missions que vous confiaient vos maîtres ?

Brice Taylor : Il y aurait beaucoup à dire ! J'ai été utilisée par un membre de la National Security Agency (Agence pour la Sécurité Nationale), ainsi que par une personne souvent très proche de nos Présidents. J'étais programmée pour avoir une mémoire photographique, et le gouvernement m'utilisait pour cela. C'était comme si j'avais un ordinateur dans le cerveau. On se servait aussi de ma mémoire photographique pour que je serve de moyen de communication entre les membres de l'élite sociale, ceux qui travaillaient à mettre en place le Nouvel Ordre Mondial. Il fallait que leur plan soit bien orchestré au niveau mondial. J'étais aussi utilisée comme esclave sexuel pour nos Présidents, des chefs d'Etat étrangers ou des acteurs connus, aux Etats-Unis et à l'étranger. A cette occasion, je leur transmettais aussi des messages de l'élite mondiale, pour la mise en œuvre de leurs plans. J'étais aussi utilisée pour blanchir de l'argent, pour la pornographie, la prostitution, etc…

Wayne Morris : Avez-vous gardé le souvenir des détails contenus dans les dossiers secrets que vous conserviez dans votre mémoire photographique ?

Brice Taylor : Oh oui ! Et j'ai passé des années à tout écrire et tout vérifier. Ce sont des dossiers très secrets qui concernent le Nouvel Ordre Mondial.

Wayne Morris : Que pouvez-vous nous dire, pour avertir le public de ce qui se prépare, et quelle est la nature de ce Nouvel Ordre Mondial qui se prépare ?

Brice Taylor : Je vous parle de ce que je connais personnellement. J'ai fréquenté tous ces gens de l'élite politique et financière mondiale. Ce qu'ils préparent, c'est en gros une prise de pouvoir au niveau du monde entier. Cette élite pense que les populations du monde sont génétiquement inférieures. Elle veut donc réduire considérablement cette population mondiale, par divers moyens, ou même la faire carrément disparaître, afin que notre planète soit repeuplée par une race supérieure, c'est-à-dire par leur propre progéniture.

Wayne Morris : Peut-être est-il un peu trop tard pour qu'ils puissent faire cela ?

Brice Taylor : Oui, parce qu'il y a beaucoup de survivants qui commencent à parler, comme moi. Je suis donc persuadée que les membres de l'élite doivent être en train de modifier certains de leurs plans, pour atteindre leur objectif final, celui qu'ils poursuivent depuis des générations. On dirait que ces super cerveaux s'amusent à jouer un jeu, pour voir de quelle manière ils peuvent manipuler et contrôler tous ces "petits cerveaux" qui peuplent la planète, et qui sont leurs victimes inconscientes. Même ceux qui ne sont pas mentalement programmés sont leurs victimes.

D'après ce que j'avais compris, ils préparent une énorme crise économique et financière mondiale, à côté de laquelle la Grande Dépression de 1929 serait un jeu d'enfant. Ils veulent mettre le monde à genoux, financièrement parlant. Ils seraient alors en mesure de proposer leur secours, qui ne serait pas évidemment un vrai secours.

J'aimerais lancer ici un appel à tous ceux qui participent à ce système, mais sans le savoir, comme certains membres des services secrets, services qui sont très compartimentés, certains scientifiques, inventeurs, ou même Francs-Maçons de rang inférieur, qui ne comprennent pas qu'en réalité ils servent les intérêts de ceux qui sont corrompus et sans scrupules, et qui cherchent à détruire l'humanité, hommes, femmes et enfants. Je les exhorte à ouvrir les yeux, et à comprendre que ceux qu'ils servent travaillent en fait à les détruire, eux et leurs familles. Ils doivent recouvrer leur liberté spirituelle, pour savoir de quelle manière ils doivent agir, de quelle manière ils doivent regarder la vérité en face, et discerner les mensonges, la propagande, et les stratégies qui inspirent la télévision, le cinéma, etc…

J'ai travaillé avec ceux qui concevaient les stratégies capables d'influencer les pensées et les systèmes de valeurs des populations. Ils voulaient que les gens croient des choses qui leur permettraient de réaliser leur plan. Mais je crois que la programmation mentale a été leur point faible. Parce qu'ils voulaient qu'il n'y ait aucune bavure, et que les programmés mentaux soient parfaitement contrôlés et restent amnésiques.

Je voudrais donc demander à tous ceux qui nous écoutent d'ouvrir leurs yeux, et de ne plus considérer comme vrai tout ce que le gouvernement ou les services secrets leur disent, mais de se poser des questions et de commencer à réfléchir par eux-mêmes.

Wayne Morris : De manière précise, comment la programmation mentale devait être utilisée dans la prise de pouvoir envisagée ?

Brice Taylor : Je crois qu'ils disposent leurs gens à des positions de pouvoir, pas seulement dans l'Armée, mais dans les milieux politiques, économiques et religieux. Ce sont des gens qui sont eux-mêmes programmés mentaux, et qui peuvent être utilisés comme des marionnettes, pour exécuter tous les ordres de leurs chefs. Les gens croient que ce sont eux qui élisent leurs Présidents. Mais j'ai travaillé avec ceux qui choisissaient d'avance et formaient les futurs Présidents, qui leur disaient ce qu'ils devaient dire et faire, comment et quand le dire et le faire… Je transmettais toutes sortes de messages et d'instructions aux Présidents et aux chefs d'Etat, dans le monde entier, pour leur dire ce qu'ils devaient dire et faire ! J'ai vu comment des gens naïfs qui ne se doutaient de rien pouvaient être manipulés, retournés et contrôlés par des esclaves comme moi. J'étais bien habillée, bien maquillée, avec de beaux bijoux, et je savais employer toutes les techniques de séduction sexuelle. Ma fille, moi-même, et tant d'autres, nous étions programmés pour cela. Nous savions détecter et utiliser toutes les faiblesses des hommes, pour leur offrir de la drogue, de l'argent ou tout ce qu'ils désiraient. Une fois que ces hommes étaient attirés dans le piège et obligés de commettre certains actes répréhensibles, ils étaient filmés et enregistrés, et on les faisait chanter pour qu'ils obéissent aux ordres de la hiérarchie.

J'ai pu ainsi observer comment des personnalités très haut placées pouvaient être piégées lors de réceptions organisées par l'élite, où l'alcool et la drogue coulaient à flots, et où toutes sortes de perversions étaient pratiquées. On leur donnait tout ce qu'ils voulaient. C'était de la perversion au plus haut niveau.

Wayne Morris : Vous parlez de l'élite mondiale. Je viens juste de diffuser les interviews de Fritz Springmeier et de Cisco Wheeler. Ils disent que ces gens de l'élite mondiale sont aussi connus sous le nom d'Illuminati. Etes-vous d'accord avec eux ?

Brice Taylor : Ce terme n'était pas utilisé par les membres de cette élite. Mais ce sont bien les mêmes anciennes familles, notamment financières. Si je ne donne pas de noms, c'est aussi parce qu'il y en a trop ! De toutes manières, ce ne sont pas les noms qui sont vraiment importants pour nous aider à régler ce problème. Ce qui est important, c'est de révéler ce qui se passe. En outre, quelqu'un, qui est membre des services secrets de la Maison-Blanche depuis 29 ans, m'a dit que je pouvais tout raconter, pourvu que je ne donne pas de noms. Je veux que mes enfants continuent à guérir et soient en sécurité. Je crois aussi que tous ces gens très haut placés ont tout autant besoin de guérir que mes enfants.

Wayne Morris : Je voudrais vous reparler de l'économie. Comment vont-ils réussir à manipuler l'économie pour qu'elle s'effondre ?

Brice Taylor : Je crois que nous vivons dans une société qui est artificiellement "gonflée". Pas seulement au niveau du gouvernement, mais de la population en général. Nous avons tous été formés à employer des cartes de crédit, à acheter à crédit, à nous endetter. Nous finissons par ne plus rien posséder réellement. Si vous provoquez un crash financier, tout ce que les gens ont épargné et investi sera perdu, parce que ce sont souvent des richesses virtuelles. Cela handicape l'économie. Quant aux moyens spécifiques pour provoquer cet effondrement économique, je crois qu'ils vont se servir du système fiscal et des impôts, ainsi que de tout le système bancaire. Si vous étudiez les circuits monétaires et financiers, vous aurez la réponse.

Wayne Morris : Pensez-vous, par exemple, que cela va aussi passer par un effondrement des marchés boursiers ?

Brice Taylor : Je n'aime pas faire des prédictions dans ce domaine. Mais je coudrais simplement dire qu'il existe une stratégie, dont j'ai entendu parler, et qui a déjà été employées dans le passé. Je ne veux pas donner l'impression que je connais parfaitement la réponse. Ce serait manquer de respect envers les auditeurs. Cela fait quand même quelques années que j'ai échappé à ce système, et les stratégies changent. Ils modifient leurs stratégies quand ils rencontrent un problème.

Wayne Morris : Que pourrait faire le public pour déjouer leurs plans ?

Brice Taylor : Je crois que les gens devraient contacter leurs élus politiques, et exiger qu'ils réclament au gouvernement de divulguer les résultats de ses expériences secrètes en matière de radiations, de drogues, de programmation mentale, etc… Il faut absolument que les gens s'informent sur le fonctionnement de la Franc-Maçonnerie, sur la programmation mentale, sur la manière dont on peut agir à distance sur les ondes cérébrales… Je crois que les gens ont besoin d'être largement informés et enseignés sur tout ce qui se passe.

Je crois aussi que les gens doivent commencer à apprendre à vivre plus simplement, surtout dans le domaine financier. Ils doivent prendre le temps nécessaire pour progresser spirituellement et pour observer ce qui se passe. Malheureusement, ce qui se passe aujourd'hui ressemble à ce qui se passait dans l'Allemagne nazie. Il faut que les gens prennent position, comme l'ont fait certains Allemands qui osaient cacher ceux qui devaient être mis à mort parce qu'ils avaient des défauts génétiques. Il faut que les gens aient le courage de prendre position, et agissent pour faire changer les choses. Mais je crois que l'élite a déjà bien avancé ses pions, et que cela prendra un certain temps pour défaire ce qu'ils ont fait. Il faut déjà penser à tous ceux qui ont été mentalement programmés et qui ont besoin d'être guéris.

Wayne Morris : Du point de vue de cette élite, qu'est-ce qui constitue une menace pour la réalisation de leurs plans ?

Brice Taylor : Déjà le fait de révéler leurs plans représente une menace très sérieuse. Il faut que la population dans son ensemble prenne ses responsabilités. Elle doit savoir qu'il existe des projets scientifiques au niveau de la planète, comme le projet HAARP, qui modifie la fréquence de vibration de notre planète, et qui agit sur le cerveau des gens et leur manière de penser. Nous devons exiger que ce projet soit arrêté. Nous devons empêcher l'Armée de faire ses recherches et ses expériences sur toutes sortes d'armes nouvelles, souvent en secret. Ces recherches et ces expériences sont nuisibles pour l'humanité. Nous devons exiger de savoir ce que le gouvernement fait réellement de l'argent de nos impôts. C'est la population qui paye en fait ces recherches ! C'est elle qui finance indirectement la recherche sur la programmation mentale et tout le reste ! C'est elle qui est en train de financer sa propre destruction !

C'est la population qui donne à toutes ces administrations l'argent nécessaire pour financer la destruction de la planète, au lieu de l'utiliser pour améliorer l'éducation de nos enfants, pour leur apprendre à réfléchir de manière critique, d'analyser les problèmes par eux-mêmes, et leur permettre de se développer. Cette élite a conçu tous ses plans selon un modèle militariste, et dans un objectif de destruction, de contrôle, et d'exercice du pouvoir.

Wayne Morris : Saviez-vous à l'époque à quelle date était fixée l'accomplissement de leurs plans ?

Brice Taylor : Tout était prévu dans un délai très court. Leur plan devait initialement être accompli d'ici l'année 2000.

Wayne Morris : Est-ce que les années 1998 et 1999 ont une signification particulière, dans leur système occulte ?

Brice Taylor : Tout était conçu comme une perversion du Christianisme, et une perversion de Christ. Tout ce que je connaissais n'était qu'une perversion de ce qui était bon…

Wayne Morris : J'ai entendu un certain nombre de survivants perler de "programmation de la fin des temps". Avez-vous entendu parler de cette programmation, et à quoi était-elle destinée ?

Brice Taylor : J'avais aussi reçu cette programmation… Je sais qu'il y avait une tâche qui avait été programmée en moi, et qui concernait ce qui devait se passer dans cette fin des temps. Je crois que leurs esclaves sont programmés pour créer des chaos sans fin. La population en général ignore tout de la programmation mentale, de l'effet de l'émission de certains rayonnements sur les ondes cérébrales, ou de la haute technologie employée dans ces domaines. Je crois qu'elle est complètement aveuglée. C'est cela qui est dangereux.

Wayne Morris : Croyez-vous que les thérapeutes et d'autres professionnels ont réussi à trouver le moyen d'annuler cette programmation ?

Brice Taylor : Je crois que les thérapeutes travaillent avec diligence dans ce domaine depuis des années, et je leur rends l'honneur qui leur est dû. Je leur suis très reconnaissante. Je crois qu'ils ont beaucoup fait, et qu'ils devaient lutter contre plus forts qu'eux. Ils ont accepté de grands sacrifices, sur le plan de leur vie professionnelle et dans tous les domaines. Rien que le fait de mettre en lumière la programmation mentale a beaucoup fait pour permettre aux gens d'en prendre conscience. Cela en annule beaucoup d'effets. L'emploi de l'ordinateur dont je vous ai parlé réduit aussi considérablement le temps de la déprogrammation. Au lieu de travailler 10 ou 15 ans à cela comme auparavant, on peut y parvenir aujourd'hui en un ou deux ans, sans provoquer de traumatisme au niveau de la vie de la personne.

Wayne Morris : D'après vous, combien de temps leur a-t-il fallu pour programmer tous ceux qui doivent participer à l'exécution de leurs plans ?

Brice Taylor : Cela se pratique en général depuis des générations. Ce sont donc des enfants que l'on programme d'abord, et cela prend des années. J'ai su aussi qu'à partir des années 70, ils ont commencé à programmer aussi des enfants qui n'appartenaient pas à leurs familles. Ils le faisaient dans les garderies d'enfants. On ne croyait pas les enfants qui parlaient. On les a tournés en ridicule pour les discréditer. Pourtant, je fais toujours remarquer que, normalement, des enfants n'ont aucun moyen de concevoir de telles horreurs par eux-mêmes. En outre, ce ne sont pas seulement quelques enfants qui parlent, mais une multitude d'enfants dans le monde entier. Il faut examiner ce problème de manière logique. Il ne s'agit pas de ce qu'on appelle à tort le "Syndrome de la Fausse Mémoire" (NDE : Ce sont des souvenirs irréels qui viendraient de l'imagination pure, ou d'une programmation destinée à brouiller la mémoire). C'est quelque chose de bien plus grave. Les enfants ont bien d'autres choses à faire en général que de parler de toutes ces perversions. Ils n'ont pas la capacité d'inventer de telles horreurs…

Wayne Morris : Vous avez fait allusion à la prostitution des enfants et à la pornographie infantile. Quel est le rôle de ces perversions dans la mise en place du Nouvel Ordre Mondial par ces élites mondiales ?

Brice Taylor : D'après mon expérience personnelle, je crois que la prostitution des enfants et la pornographie infantile servaient simplement au plaisir personnel de ces élites. Ma fille et mon fils ont été ainsi prostitués, conduits dans des réceptions où chacun faisait ce qu'il voulait avec eux. Cela représente aussi une source incroyable de fonds et d'argent. Cela rapporte beaucoup, dans le monde entier.

Wayne Morris : Pensez-vous que les trafics d'enfants sont très répandus aujourd'hui ?

Brice Taylor : Je crois que si les gens savaient à quel point les trafics d'enfants sont répandus aujourd'hui, cela les pousserait à se mettre à genoux ! Comme le dit Ted Gunderson, cet ancien agent du FBI, tout le monde sait aujourd'hui en Californie où se trouvent les voitures volées, mais personne n'a aucune idée des statistiques d'enfants disparus, ni des endroits où on les amène !

Wayne Morris : Selon vous, quel est le nombre total des programmés mentaux ?

Brice Taylor : Je n'en ai jamais su le nombre exact. Mais je sais qu'il y a beaucoup de survivants. Je reçois des lettres du monde entier. J'ai aussi entendu un jour un membre des services secrets me parler du "Projet des modèles présidentiels", celui qui concernait les esclaves sexuelles des Présidents et des membres de la super élite. Il y avait 3000 femmes programmées aux Etats-Unis pour servir d'esclaves sexuelles à l'élite et aux Présidents. Je faisais partie de ces 3000, et ma fille devait suivre mes traces. C'est comme une pyramide. A mesure que les générations passent, le nombre des esclaves grandit.

Wayne Morris : Quelles similarités avez-vous remarquées dans les récits des survivants, et de quelles zones géographiques proviennent-ils ?

Brice Taylor : Ils viennent du monde entier. Ils ne sont pas concentrés dans tel ou tel Etat. Par ailleurs, beaucoup de survivants nomment les mêmes endroits, les mêmes bases militaires. Ma fille et moi nous avons été souvent programmées à la base navale de Point Magoo. C'est là qu'ils font aussi des recherches sur les dauphins. Il y avait aussi la base aérienne Edwards, et bien d'autres bases militaires. Ils nomment aussi tous les principaux centres hospitaliers, surtout ceux où sont effectuées des recherches, ainsi que les centres de la NASA. Il s'agit d'un système bien organisé. Je ne parle pas d'une petite secte satanique ici ou là. Il s'agit d'un ensemble bien structuré et organisé.

Wayne Morris : Est-ce que tous les survivants que vous connaissez racontent des expériences similaires : programmation dès l'enfance, sévices rituels sataniques… ? Quel est le pourcentage des programmés mentaux qui travaillent directement pour le gouvernement ?

Brice Taylor : La plupart des survivants que je connais travaillaient plutôt au niveau local, rarement au niveau du gouvernement. Toutefois, je connais dix ou douze autres esclaves sexuelles présidentielles. Certaines femmes sont venues me voir. Elles avaient peur de me raconter toute leur histoire, mais elles me donnaient un nom dont elles se souvenaient, en me demandant si je pouvais leur confirmer si cette personne était bien un tortionnaire… Souvent, c'étaient les mêmes que pour moi. Je pouvais leur confirmer que leurs souvenirs étaient bons, et elles repartaient rassurées de voir qu'elles n'étaient pas folles.

Wayne Morris : Parlez-nous des rapports avec le crime organisé, notamment pour les trafics d'enfants. Pouvez-vous parler de ce que vous avez connu ?

Brice Taylor : En ce qui concerne les rapports avec le crime organisé, j'ai de nombreux souvenirs d'enfance me prouvant que j'avais des rapports fréquents avec la Maffia, comme avec la CIA, le gouvernement, ainsi qu'avec certaines facultés de médecine et bases militaires. La Mafia était employée pour les trafics d'enfants, la pornographie et la prostitution des enfants. Elle se servait de certains enfants pour attirer d'autres enfants. Certains enfants "ordinaires" étaient kidnappés dans la rue et attirés par d'autres enfants… Tout cela parce que des individus sadiques et pervers veulent assouvir leurs passions infâmes. Cela brassait aussi beaucoup d'argent…

Wayne Morris : Est-ce que les trafics d'enfants sont très répandus ?

Brice Taylor : Oui, je crois qu'ils sont très répandus. Je crois qu'on a trompé le public avec cette histoire de "Syndrome de la Fausse Mémoire"… La grande presse s'est aussi attachée à discréditer les témoignages de certains enfants. Pourtant, je crois qu'ils disaient la vérité. Ils disent partout la même chose. Nous aussi, les survivants, nous sommes discrédités par les médias… Mais on a programmé beaucoup d'enfants dans les écoles maternelles, même des enfants qui n'appartenaient pas à des familles de satanistes. Tous ceux-là, plus tous ceux qui sont kidnappés dans les rues, vont alimenter les trafics d'enfants. Pourtant, le public en général ne nous croit pas quand on leur dit ce qui se passe. Il est trop incrédule. Même les établissements hospitaliers et les églises ne nous croient pas en général. Ils ne croient pas que de telles atrocités puissent être pratiquées dans notre pays. Ils sont donc incapables d'aider ces enfants, ni d'aider les survivants qui cherchent du secours. Ils sont également incapables d'agir pour faire arrêter cela.

Wayne Morris : Il semble que ce soit l'incrédulité du public qui permette à ces atrocités de se perpétuer…

Brice Taylor : … Les grands secrets sont toujours protégés par l'incrédulité du public. Je crois que les stratèges de ce plan savent très bien ce qui s'est passé dans l'Allemagne nazie. Les gens continuent à croire qu'une bonne partie de toutes ces horreurs ne se sont jamais produites. Ils ne veulent pas croire, parce que c'est trop horrible.

Wayne Morris : En parlant de l'Allemagne nazie, il faut rappeler que de nombreux scientifiques nazis ont trouvé refuge aux Etats-Unis après la deuxième guerre mondiale. Aviez-vous rencontré des nazis vous-même ?

Brice Taylor : Oui… Ces nazis ont pu trouver refuge chez nous, en toute immunité. Ils ont continué à travailler dans nos universités et nos centres de recherche, pour mettre au point les techniques de programmation mentale. On leur a fourni des cobayes humains pour leurs expériences, dont moi et mes enfants nous avons fait partie… Quand j'étais petite, je me souviens que ma mère m'avait dit un jour que mon père était allé à une réunion néo-nazie avec ma grand-mère. Pendant ma guérison, il m'arrivait souvent de dessiner des croix gammées… J'ai aussi vu ce symbole nazi employé dans les cérémonies sataniques… Alors que le grand public a encore du mal à admettre l'existence des horreurs nazies, les mêmes choses continuent à être pratiquées en secret chez nous…

Wayne Morris : Pensez-vous que les expériences nazies dans les camps de concentration visaient à mettre au point la programmation mentale ?

Brice Taylor : Certainement. J'ai visité l'an dernier le Musée de l'Holocauste à Washington, et j'ai vu des photos qui montraient que les nazis faisaient des expériences sur le fonctionnement du cerveau…

Wayne Morris : Avez-vous rencontré Joseph Mengele aux Etats-Unis ?

Brice Taylor : Non. Ce sont des médecins de l'Institut Neuropsychiatrique de l'Université UCLA qui m'ont surtout programmée…

Wayne Morris : Certaines personnes que nous avons interviewées nous ont parlé de l'idéologie occulte de ces groupes responsables de la programmation mentale. Qu'en pensez-vous ?

Brice Taylor : Je sais que les idées occultes du Nouvel Ordre Mondial remontent à très longtemps. Elles me semblent correspondre à une idéologie religieuse. Je crois que cette idéologie occulte est très dangereuse et destructrice, et se mêle à beaucoup de superstitions… C'est comme pour les satanistes. Ils croient que toutes leurs cérémonies occultes leur donnent beaucoup de puissance… C'est pour cela qu'ils continuent à les pratiquer. Il faut donc que toutes les personnes de bonne volonté sur cette terre cessent de se voiler la face. Même les Chrétiens ne veulent pas croire à ces atrocités, ou disent que cela leur fait peur. Cela les pousse à ne rien faire, et si l'on ne fait rien, des enfants continueront à être torturés.

Wayne Morris : Pensez-vous que ceux qui pratiquent la programmation mentale soient motivés par la recherche de la puissance et de la richesse ? Pourtant, ces vieilles familles de financiers n'ont-elles pas déjà assez d'argent ? Qu'est-ce qui les motive à perpétuer ces atrocités ?

Brice Taylor : J'ai travaillé avec ceux qui mettaient au point la stratégie du Nouvel Ordre Mondial. Certains sont très déséquilibrés intellectuellement. Ils croient en la puissance de l'intellect, et n'éprouvent aucun sentiment d'amour ni de compassion. On dirait qu'ils jouent un jeu d'intelligence… Je crois que ce sont des gens très intelligents, capables de concevoir des plans stratégiques très compliqués. Mais ils veulent tout le temps faire monter les enchères, comme dans une partie de poker, pour savoir qui va finalement pouvoir contrôler qui, et pour voir s'ils vont parvenir à contrôler mentalement toute la planète.

Wayne Morris : Savez-vous si le gouvernement a des liens avec des sectes sataniques, puisque tant de survivants racontent leur participation à des cérémonies sataniques ?

Brice Taylor : Je crois qu'il y a des gens dans le gouvernement qui ont très bien compris que ces sectes sataniques pouvaient leur fournir des personnes capables de leur servir d'esclaves, en raison de leur programmation mentale… C'est pourquoi ces expériences se déroulent très souvent dans des bases militaires, pour qu'elles restent secrètes. Ils veulent que les contribuables ignorent à quoi sert l'argent de leurs impôts… Je crois donc que les liens du gouvernement avec ces sectes sont très forts. Il y a certainement des membres du gouvernement qui travaillent pour le Nouvel Ordre Mondial. Je sais par exemple que nos Présidents ont beaucoup de liens avec la Franc-Maçonnerie, certains au plus haut niveau. Mais il n'y a pas que le gouvernement. Les dirigeants des milieux économiques et financiers ont aussi été manipulés pour entrer dans leur système…

Wayne Morris : Savez-vous de quelle manière les médias sont manipulés et contrôlés ?

Brice Taylor : Ils le sont. J'ai assisté aux réunions de planification stratégique concernant les médias. Ils définissaient de quelle manière les informations devaient être publiées dans les journaux. Ils parlaient aussi des grandes familles qui possédaient certains journaux ou médias… Je connais un agent des services secrets qui m'a raconté qu'un agent secret russe avait été interviewé à la télévision américaine, et qu'il avait déclaré : "Les Américains ont gagné la guerre mentale !". Ils l'ont aussitôt coupé à l'antenne, et l'on n'en a plus entendu parler. Je crois que les médias cachent beaucoup de choses, et qu'ils diffusent beaucoup d'informations qui manipulent les gens, au lieu de leur dire la vérité…

Wayne Morris : Les médias parlent beaucoup du scandale Clinton en ce moment. Pensez-vous que les femmes impliquées dans ce scandale ont été utilisées comme vous l'avez été ?

Brice Taylor : Comme j'étais une esclave présidentielle, et pour parler au nom de toutes les autres esclaves présidentielles que j'ai connues, je ressens comme une victoire le fait que la vérité sur Clinton apparaisse au grand jour… Il faut que l'on mette un terme aux perversions de cet homme. Je peux vous dire personnellement que j'ai été très abattue quand j'ai appris qu'il avait été réélu. Je dois constamment me rappeler que nos Présidents ne sont pas réellement élus par le peuple. Il faut que les Américains reprennent le contrôle de leur pays, s'informent et apprennent tout ce qui se passe. Il faut qu'ils agissent pour arrêter tout cela. Il faut qu'ils sachent que leurs dirigeants, même s'ils sont eux-mêmes contrôlés, poursuivent des objectifs qui ne recherchent absolument pas le bien du peuple !

Wayne Morris : Pensez-vous que le scandale Clinton ait pu être provoqué par un groupe rival ?

Brice Taylor : Je n'ai aucun moyen de le savoir. Je crois que cet homme a commis plus d'horreurs contre les femmes que quiconque sur cette terre… Je crois que les Américains sont tellement occupés à gagner leur vie qu'ils n'ont plus le temps de chercher à savoir ce que font leurs dirigeants. On dirait que les gens ne savent plus prendre un peu de recul. Il y a pourtant, même à la Maison-Blanche et dans les services secrets, des gens de bonne foi qui ignorent vraiment ce qui se passe, et qui ne sont pas informés sur la programmation mentale. Peut-être que ce sont certains d'entre eux qui ont publié des informations confidentielles… Je crois que c'est déjà extraordinaire qu'au moins l'un de nos Présidents soit obligé de rendre des comptes concernant les accusations d'adultère et de perversion sexuelle portées contre lui !

Wayne Morris : Pensez-vous que Clinton soit différent des autres Présidents à cet égard ?

Brice Taylor : Non.

Wayne Morris : Que faudrait-il faire, d'après vous, pour que le public soit plus largement informé sur ces atrocités ?

Brice Taylor : Je crois qu'il faudrait améliorer le niveau d'éducation de la population. Il faut que les gens se réveillent et cessent de nier l'existence de ces atrocités. Il faut qu'ils acceptent de croire ce que racontent les survivants, et que l'on prenne les mesures nécessaires pour qu'il n'y ait plus de victimes. Ces victimes de la programmation mentale ont souffert intensément pendant des années de tortures et de traumatismes. Nous sommes tous responsables pour arrêter cela, parce que tous ces programmés mentaux en activité constituent une grande menace pour la société. Heureusement que cette programmation mentale n'était pas aussi efficace que ce que les tortionnaires avaient prévu. Nous sommes devant un problème de société. La violence grandit. Des enfants tuent à présent leurs parents. Malgré cela, les tribunaux ne veulent souvent pas entendre parler de sévices sataniques, et l'on camoufle la réalité pour que le public ne sache rien.

Wayne Morris : Quels projets avez-vous, ainsi que les autres survivants, pour informer davantage le grand public ?

Brice Taylor : Vous savez, je parle chaque fois que j'en ai l'occasion, que ce soit à la radio, à la télévision, dans des séminaires, des conférences… Je parle dans tout le pays. C'est l'un des moyens de transmettre l'information. J'écris aussi des livres, j'encourage les survivants à écrire leur témoignage et je les aide à s'en sortir. Je crois qu'une nouvelle Commission Présidentielle d'Enquête devrait entendre d'autres témoins, comme lors de l'audition de Valerie Wolf et de ses clientes. Elles ont eu le grand courage de venir témoigner des expériences de programmation mentale. Je crois qu'il faudra aussi que toutes les femmes qui ont été victimes de ces techniques horribles s'organisent à la base pour révéler la vérité et arrêter ces crimes. Je crois que cela serait un moyen très puissant.

Wayne Morris : Brice, j'aimerais vous remercier très sincèrement d'avoir accepté de venir témoigner à notre antenne. Je sais qu'il vous a fallu beaucoup de courage, et je vous souhaite toute la force dont vous avez besoin pour continuer votre combat pour mettre toutes ces choses en lumière.

Brice Taylor : Merci, Wayne. Je vous suis très reconnaissante pour l'occasion que vous m'avez donnée de partager mon témoignage.

(A suivre)